Gaspard le renard vous entraine dans ses aventures dans les communes de Libin, Libramont-Chevigny, Saint-Hubert, Tellin, Tenneville et Wellin.Le temps d’une promenade, profitez des paysages et prenez part à différents jeux et énigmes.Procurez-vous le carnet de jeux à la Maison du Tourisme de la forêt de Saint-Hubert ainsi que dans les bureaux d’accueil des Offices du Tourisme et Syndicats d’Initiative des communes partenaires, et soyez prêts pour la découverte !Ce carnet te propose une balade de 5 km ponctuée de 9 arrêts. Durant ces derniers, Gaspard le renard t’invite à prendre part à différents jeux et énigmes. Chacun de ces arrêts sera ensuite agrémenté d’une rubrique « à voir ou à faire » avec les points d’intérêts de la commune à découvrir une fois ton activité terminée. En plus de l’activité avec Gaspard le renard, différents panneaux didactiques sont présents et te permettront d’en apprendre plus sur la nature.Entièrement dans les bois, ce parcours de t’emmènera à la découverte du Domaine provincial de Mirwart. Une fois ta balade terminée, tu peux vérifier tes réponses en te rendant à la Maison du Tourisme de la Forêt de Saint-Hubert. Bon amusement et bonne route ! 

Les Saisons de la PhotoOrganisées depuis 2015, les « Saisons de la photo » sont des expositions en plein air de photos nature visibles toute l'année et installées dans les 6 communes de la Grande Forêt de Saint-Hubert (communes de Libin, Libramont-Chevigny, Nassogne, Saint-Hubert, Sainte-Ode et Tenneville). ​Les 500 photos exposées sont renouvelées chaque année, à la fin du mois de mars. Sites patrimoniaux, espaces naturels, petits villages ardennais,... les sites d'expositions plein de charme mettent en valeur le travail des photographes passionnés qui ont accepté de partager avec nous leur amour pour la Nature. Procurez-vous gratuitement le dépliant d'expositions dans les bureaux de tourisme locaux et partez à la découverte de plus de 500 photos nature !

Au cœur de la forêt du Domaine de Mirwart se cache le rucher didactique du Marsoult, aménagé pour permettre de découvrir – en toute sécurité – le monde fabuleux des abeilles, pour le plus grand bonheur des petits et des grands.Le rucher vise la préservation de l’espèce indigène : l’abeille noire aussi appelée « abeille du pays ».Le miel y est récolté au printemps et en été.Le rucher se trouve à proximité de la pisciculture du Domaine, renommée pour la qualité de ses truites « fario » destinées à l’empoissonnement des rivières locales.

C'est la fin du Moyen Âge,une période riche en découvertes commence.En 1536, le Seigneur de Mirwart décide de construire un haut fourneau à Marsolle pour y fabriquer du fer et engage aussitôt un maître des forges et des sidérurgistes. En effet, on trouve en cet endroit trois ressources intéressantes : l'eau, le bois et du minerai. Le haut fourneau sera utilisé jusqu'en 1568.Des bûcherons, des charbonniers et des mineurs travaillaient à proximité du site. La forêt est surexploitée. Le haut fourneau consomme à lui seul plusieurs milliers de m³ de bois par an.On utilise une technique wallonne qui a révolutionné son époque : le "procédé indirect", ou encore la fabrication du fer en deux étapes, au lieu d'une. Les gueuzes de fonte (poutres de fer contenant beaucoup de carbone) seront ensuite retravaillées et purifiées afin de produire du fer de qualité dans une forge d'affinage située au pied du château.

Des bois à perte de vue, une nature préservée, des sentiers balisés, une pisciculture, la Lomme… autant d’invitations à venir se ressourcer, se promener ou se détendre au Domaine provincial de Mirwart.A deux pas du village du même nom, cet écrin de verdure, niché au creux d’une vallée escarpée, mérite le détour. De nombreux étangs y abritent un élevage de truites fario, l’espèce indigène destinée à l’empoissonnement des rivières de la région. Ces étangs sont disséminés au cœur de la forêt sauvegardée où les randonneurs attentifs découvriront la richesse de la flore ou relèveront des traces de gibier. A moins qu’ils ne croisent l’un des nombreux vestiges du passé de Mirwart, tels le haut-fourneau de Marsolle, témoin de la période préindustrielle, ou la glacière du 19e siècle, creusée à flanc de coteau et aujourd’hui dédiées à l’hibernation des chauves-souris.Un rucher didactique, aménagé pour permettre de découvrir le monde des abeilles, vise à la préservation de l’abeille noire dite « noire du pays ».Le Domaine propose – uniquement sur réservation – des visites de la pisciculture.Pour prolonger le plaisir de la visite, plusieurs aires de pique-nique et de barbecue ont été aménagées dans le Domaine.

Mirwart est un petit village pittoresque dont la rue principale mène jusqu’au château, aujourd'hui rénové, dont la chronique de l’abbaye de Saint-Hubert situe la fondation en 955.Ce village est un de ces lieux que le temps semble avoir épargné, où les fermettes ont su conserver leurs caractéristiques ancestrales (colombages, vieilles pierres et vieilles briques…). Près de l’église, vous pouvez apercevoir la statue réalisée par Louis Noël. Cette statue est érigée en hommage à l’emblème locale « Le semeur », dont une bière artisanale ambrée porte également le nom. Le village de Mirwart est véritablement lové dans un écrin de verdure, surplombant le Domaine provincial de Mirwart. Des bois à perte de vue, une nature préservée, des sentiers balisés, une pisciculture, la Lomme... autant d’invitations à venir seul, en famille ou entre amis pour se promener ou se détendre.

Situé au sommet d'un rocher dans la vallée de la rivière "L'homme", le château domine le village de Mirwart.   La chronique de l'abbaye de Saint-Hubert mentionne la construction de la première véritable forteresse en 955. Les seigneurs de Mirwart furent les solliciteurs de l'abbaye du VIIIe siècle au dernier quart du XVIIe siècle. Le château a connu une histoire mouvementée. Plusieurs fois détruit et reconstruit, le bâtiment actuel a été construit entre 1706 et 1734 sur les vestiges des forteresses précédentes.Le château accueille aujourd'hui un hôtel restaurant.